<font face="Times New Roman" size="3"> </font><font size="3"><font face="Times New Roman">La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) condamne la situation violente en Amérique Centrale – une des régions avec le plus grand nombre de journalistes assassinés.</font></font> <font face="Times New Roman" size="3"> </font><font size="3"><font face="Times New Roman">Neuf journalistes ont été tués depuis le début de l’année 2016, une conséquence du crime organisé et de l’indifférence des autorités. Cinq sont morts au Guatemala, trois au Honduras et un au Salvador.</font></font> <font face="Times New Roman" size="3"> </font><font size="3"><font face="Times New Roman">« Ce scénario s’est développé dans un contexte de constante intimidation de ceux dont le devoir est d’informer », a déclaré Philippe Leruth, président de la FIJ, « À chaque fois qu’un journaliste meurt en exerçant son devoir d’informer, la démocratie est endommagée. Trop souvent il existe des liens entre les meurtres commis et les intérêts économiques ou les partis politiques, qui sont gênés par l’activité des journalistes, qui agissent souvent comme des défenseurs de la société face aux injustices sociales ». </font></font> <font face="Times New Roman" size="3">lire le communiqué complet en anglais</font> <font face="Times New Roman" size="3"> </font>

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