<iframe frameborder="0" width="560" height="315" src="https://biteable.com/watch/embed/rejoindre-votre-syndicat-aujourdhui-1540053" allowfullscreen="true"></iframe><p><a href="https://biteable.com/watch/rejoindre-votre-syndicat-aujourdhui-1540053">Rejoindre Votre Syndicat Aujourd'hui</a> on <a href="https://biteable.com">Biteable</a>.</p>
L’enquête, menée auprès de 60 membres de la FIJ de tous les continents et publiée à l’occasion de la Journée mondiale pour le travail décent, montre également que les attaques contre la négociation collective, les faibles salaires et le manque de droits pour les indépendants menacent de nuire davantage encore aux conditions de travail des journalistes à travers le monde.
Une grande majorité des syndicats interrogés a pointé le manque de négociation collective, le manque de droits sociaux, les faibles salaires, le refus généralisé des droits des indépendants et la concentration croissante de la propriété des médias comme principaux défis pour parvenir à des conditions de travail décentes.
La crise économique traversée par de nombreux pays a également été un facteur expliquant les atteintes au droit du travail et aux droits sociaux de la part des entreprises et des gouvernements.
Les répondants ont cependant souligné de manière écrasante les avantages de la syndicalisation et de l'action pour relever les défis provoqués par d'importants changements économiques et technologiques dans le secteur des médias.
La FIJ a appelé à un engagement mondial pour le respect des droits à la liberté d'association, à la négociation collective et aux conditions de travail équitables. Une étape cruciale pour garantir aux journalistes la possibilité de travailler de manière autonome dans le respect des valeurs les plus élevées du journalisme et de la liberté de la presse.
Le président de la FIJ, Philippe Leruth, a déclaré: "Une fois de plus, il y a une manifestation claire que, sans syndicats forts et sans négociation collective, les journalistes sont confrontés à un avenir de plus en plus précaire et forcés de travailler dans des conditions de pauvreté, de corruption ou de peur. Les conditions de travail décentes obtenues par des syndicats forts sont une garantie de qualité et d'indépendance de l'information. Pour ceux qui croient en la justice, croient en des conditions de travail équitables, croient en la liberté de la presse, il est clairement établi qu’ils sont mieux protégés en adhérant à un syndicat. Je demande instamment à tous les journalistes de rejoindre leur syndicat local et de participer à notre lutte pour les droits sociaux, syndicaux et professionnels de toute la profession ".Consulter les principaux résultats de l'étude.Pour de plus amples informations, veuillez contacter la FIJ au + 32 2 235 22 16
La FIJ représente plus de 600 000 journalistes dans 140 pays
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