L'atelier était organisé par l'Association des Journalistes de Mauritanie (AJM) et le Syndicat des Journalistes Mauritanien (SJM), deux affiliés de la FIJ.
Lors de cette audience par le premier ministre mauritanien, le président de la FIJ a indiqué que, selon les informations reçues par la FIJ de ses affiliés, « la Mauritanie a besoin de consolider le secteur de la presse et des médias par des mécanismes démocratiques et indépendants qui favorisent le développement d'une presse de qualité ».
Il a également insisté sur la nécessité de respecter les droits des journalistes et leurs dignité dans le cadre de conventions collectives et de normes professionnelles définies par le corps journalistique.
Mjahed a rappelé que la FIJ, première organisation mondiale des journalistes, a adopté une charte d'éthique, actualisée en 2019, et encourage les professionnels des médias à développer des mécanismes d'autorégulation démocratiques et indépendants pour une presse crédible, au service de la vérité, de la démocratie et des droits de l'Homme.
L’atelier, organisé par la FIJ et par ses deux affiliés AJM et SJM, a conclu ses travaux en annonçant la constitution d'un comité commun pour unifier les journalistes mauritanien au sein d une seule entité syndicale, forte et indépendante, afin de pouvoir lutter de manière plus efficace en faveur de la liberté de la presse et défendre les droits des journalistes.