Le journaliste marocain est poursuivi sur la base du code pénal.
"Je lance un appel pour la libération de Omar Radi," a déclaré Younes Mjahed, le président de la FIJ. "Quels que soient les motifs de son arrestation, rien ne justifie sa détention, d'autant que le Code de la presse n'autorise pas la justice à poursuivre les journalistes en détention. Le recours au code pénal dans le cas de Omar Radi ou dans le cas d'autres journalistes vide de sa substance la réforme du code de la presse au Maroc."
Nonobstant le contenu du tweet, le SNPM estime que "ce jugement via le code pénal en lieu et place du code de la presse est inacceptable et dangereux pour la liberté d'expression au Maroc".